Note pour la période des questions : Décriminalisation
About
- Numéro de référence :
- MMHA-2024-QP-0003
- Date fournie :
- 19 juin 2024
- Organisation :
- Santé Canada
- Nom du ministre :
- Saks, Ya'ara (L’hon.)
- Titre du ministre :
- Ministre de la santé mentale et des dépendances
Enjeu ou question :
N/A
Réponse suggérée :
• Ce gouvernement continuera à soutenir une approche qui contribuera à détourner les personnes qui consomment des drogues du système de justice pénale et à les orienter vers les services sociaux et de santé approprié afin de réduire les dommages immédiats.
• La dépendance aux drogues n'est pas un acte criminel. C'est un problème de santé qui doit être traité comme tel si nous voulons trouver des solutions durables.
• On ne peut pas se débarrasser d'un problème de santé en arrêtant. La guerre contre la drogue s'est avérée non seulement inefficace, mais aussi néfaste pour les personnes qui consomment des drogues et pour les communautés.
• La stigmatisation incite les gens à cacher leur consommation de drogue, à prendre des risques plus importants et peut constituer un obstacle à la recherche de services de santé.
• Nous savons également que la criminalisation de la consommation de substances a un impact disproportionné sur les populations noires et autochtones.
• Un large éventail de parties prenantes fait appel à la décriminalisation de la possession personnelle dans le cadre d’une stratégie globale : L’Association canadienne des chefs de police, l’Association des infirmières et infirmiers du Canada, la Société médicale canadienne sur l’addiction et l’Autorité sanitaire des Premières Nations.
• Ces organisations viennent s’ajouter à plusieurs experts et parties prenantes de la politique en matière de drogues, les Nations Unis, ainsi qu’à des municipalités et à des médecins-conseils.
Contexte :
N/a
Renseignements supplémentaires :
N/a