Subventions et contributions gouvernementales

Ce projet s’attaquera à des priorités liées aux écosystèmes et au mieux-être. Depuis des millénaires, les normes culturelles des Inuit de même que les connaissances écologiques traditionnelles détenues par les Aînés et les personnes qui font la récolte aident au maintien des écosystèmes du Nunavut. Le projet a pour but d’explorer la façon dont ces normes et connaissances peuvent guider les efforts contemporains de gestion des écosystèmes. En mettant l’accent sur le savoir des Inuit au sujet de la gestion des espèces et des pratiques de récolte durables, cette étude abordera aussi le mieux-être, une priorité, comme elle aidera les Aînés à renouer avec les jeunes et favorisera l’autodétermination dans la recherche et la gestion.

Le projet porte sur les changements écosystémiques causés par la présence du castor dans des milieux aquatiques et terrestres ainsi que sur les répercussions de ces changements sur le bien-être de la collectivité. Les recherches font appel à une application de surveillance communautaire et visent à établir un rapport entre les changements écologiques et le bien-être des Inuvialuit de même qu’à aligner la surveillance scientifique sur le savoir holistique des Inuvialuit. Le projet souligne l’interdépendance des écosystèmes d’eau douce et des écosystèmes terrestres, en particulier dans le contexte de la souveraineté et de la sécurité alimentaire, comme les activités du castor peuvent avoir une incidence sur l’accès à d’importantes ressources de subsistance comme la faune aquatique et terrestre.

Ce projet a pour but de renforcer la résilience des collectivités et des écosystèmes de l’Arctique par l’évaluation, au moyen de processus actifs de coproduction de connaissances, du potentiel de diversification des aliments bleus et des méthodes de collecte. S’appuyant sur les liens établis ainsi que les recherches existantes, deux études de cas sont proposées. Elles vont de l’examen du développement de la pêche à Sanikiluaq, au Nunavut, à l’exploration de la diversification de la récolte de subsistance menée par la communauté à Ulukhaktok, au Nunavut.

Le projet appuie l’entretien et la rénovation du camp de mieux-être. L’objectif est de pouvoir continuer à offrir, de façon abordable, un espace sûr, dynamique, accessible et polyvalent que les Gwich'in et d’autres participants peuvent utiliser pour bâtir une communauté solide et saine ainsi que pour prendre part à des activités liées au mieux-être, à la langue, aux arts et à la culture comme de telles pratiques sont importantes pour la communauté des Gwich’in.

Le projet permet de poursuivre une étude de longue date sur l’omble chevalier et l’omble Dolly Varden dans le bassin de la rivière Coppermine, au Nunavut. Ces recherches, menées en partenariat, ont comme priorité de déterminer où chaque espèce passe l’hiver et si l’omble Dolly Varden est plus résilient au réchauffement rapide des températures de l’eau que l’on observe depuis peu. En déterminant les habitats de l’omble et les températures propices à sa survie, la collectivité pourra prendre les meilleures décisions possibles concernant les pratiques d’intendance et de gestion à adopter.

Les fonds reçus seront distribués aux étudiants admissibles pour aider à compenser les coûts élevés de la recherche dans le Nord.

Les fonds reçus seront distribués aux étudiants admissibles pour aider à compenser les coûts élevés de la recherche dans le Nord.

Les fonds reçus seront distribués aux étudiants admissibles pour aider à compenser les coûts élevés de la recherche dans le Nord.

Les fonds reçus seront distribués aux étudiants admissibles pour aider à compenser les coûts élevés de la recherche dans le Nord.

Les fonds reçus seront distribués aux étudiants admissibles pour aider à compenser les coûts élevés de la recherche dans le Nord.