Note pour la période des questions : La compétitivité dans le secteur des ressources naturelles

Les secteur des ressources naturelles comptent parmi les secteurs économiques les plus touchés par la pandémie. Le gouvernement du Canada a adopté plusieurs mesures afin de soutenir la reprise économique.

• Notre gouvernement sait que le secteur des ressources naturelles joue un rôle essentiel dans le cadre de notre engagement à créer de bons emplois et une économie compétitive au niveau mondial, aujourd’hui et pour les années à venir.
• Il s’agit donc d’assurer la compétitivité de nos secteurs des ressources naturelles afin de soutenir les travailleurs, les collectivités et les entreprises et de favoriser la résilience de l’économie canadienne.
• Le secteur des ressources naturelles est un élément central du plan du gouvernement visant à « reconstruire en mieux ».
o Nous investissons dans les chaînes de valeur des minéraux et métaux critiques à la production de batteries afin de créer des emplois et d’alimenter la transition vers une énergie propre pour le Canada, en fournissant non seulement les matières premières nécessaires aux technologies propres et numériques (par exemple, le lithium dans les batteries des VE), mais aussi en développant les industries connexes tout au long de la chaîne de valeur.
o Nous améliorerons les performances environnementales en développant des technologies propres et renouvelables, en renforçant l’innovation et en soutenant les solutions ancrées dans la nature.
o Nous travaillons avec des partenaires de l’industrie et des établissements d’enseignement pour soutenir la formation professionnelle qui améliorera la diversité et l’intégration de la main-d’œuvre du secteur des ressources naturelles.

Messages supplémentaires :
• Suite à la pandémie, le gouvernement du Canada a soutenu le secteur des ressources naturelles par une série d’initiatives :
o Une aide de 320 millions de dollars pour soutenir les emplois dans le secteur pétrolier extracôtier à Terre-Neuve-et-Labrador, y compris pour améliorer la sécurité, entretenir et moderniser les infrastructures extracôtières existantes, les services environnementaux et les technologies propres.
o Le maintien du crédit d’impôt pour l’exploration minière afin d’aider les sociétés d’exploration à réunir de nouveaux capitaux propres.
o Un soutien au secteur des technologies propres par le biais du Programme d’aide à l’innovation du PARI-CNRC et du Fonds d’aide et de relance régional;
o Un investissement de 2,5 milliards de dollars pour maintenir et créer environ 10 000 emplois bien rémunérés tout en améliorant la performance environnementale du secteur pétrolier afin qu’il puisse contribuer au développement d’une main-d’œuvre hautement qualifiée et diversifiée et qu’il continue à jouer un rôle clé dans l’avenir de la croissance propre du Canada.
o La création d’emplois en Alberta, en Saskatchewan et en Colombie-Britannique grâce à un financement du gouvernement provincial et à un financement remboursable à l’Orphan Well Association de l’Alberta pour nettoyer les puits de pétrole et de gaz orphelins ou inactifs; et
o Un nouveau fonds de réduction des émissions pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, particulièrement le méthane, dans le secteur pétrolier et gazier du Canada. Ce fonds comprend 75 millions de dollars pour aider l’industrie extracôtière de Terre-Neuve-et-Labrador à créer et à maintenir des emplois grâce aux efforts de réduction de la pollution.
o Un soutien aux moyennes entreprises ayant des besoins de financement plus importants pour les aider à maintenir leurs activités et à garder leurs employés au travail.
o Un financement provisoire indispensable pour les grandes entreprises du pays, disponible pour toutes les industries des secteurs des ressources naturelles du Canada, à condition qu’elles « s’engagent à divulguer leurs futures données sur le climat et à atteindre des objectifs de viabilité environnementale ».
o La création d’emplois et de possibilités de formation pour les jeunes Canadiens dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) dans les secteurs de l’énergie, de l’industrie forestière, de l’exploitation minière, des sciences de la terre et des technologies propres.

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